L'Irlande va t'elle dire "oui" au traité de Lisbonne ?
L'Irlande quittera t-elle l'Union en cas de "non" ?
L'Union Européenne va t-elle prendre fin un Vendredi 13 ?
L'Irlande quittera t-elle l'Union en cas de "non" ?
L'Union Européenne va t-elle prendre fin un Vendredi 13 ?
L'Europe s'est toujours construite de crises en sursauts. Mais cette fois, le référendum irlandais sur le traité de Lisbonne, censé déverrouiller les institutions, a de quoi provoquer un grand frisson. Et une certaine lassitude. L'un des principaux bénéficiaires de l'Union la fera-t-il trébucher, comme la France et les Pays-bas, ont failli le faire, il y a trois ans, en enterrant la Constitution proposée aux pays membres ? A elle seule, la question rappelle une évidence : les dangers d'un recours au référendum lorsqu'il s'agit d'un sujet aussi touffu qu'un projet constitutionnel... compréhensible par les seuls constitutionnalistes. Déjà en 2005, les "nonistes" français avaient fait leur miel de l'opacité du texte pour mieux cristalliser les mécontentements les plus divers.
Le "bon sens" finira-t-il par l'emporter sur les inquiétudes et les assauts de démagogie propre à ce type de référendum ? A part le Sinn Fein et ses quatre députés, la classe politique et économique dans son ensemble l'espère toujours. L'Irlande a de toute évidence plus à perdre qu'à gagner à voir l'Europe à nouveau encalminée dans les méandres du traité de Nice. Et le gouvernement de Brian Cowen frémit à l'idée de voir le pays affaibli au sein de l'Union en période de basses eaux économiques. Il n'est pas le seul. Si le référendum irlandais se transforme en ballade pour un traité défunt, il appartiendra à la présidence française de l'Union de trouver les moyens de sortir de l'ornière. Un redoutable lever de rideau pour Nicolas Sarkozy. Car, si les Européens ont toujours su faire preuve d'une imagination insoupçonnée pour assurer leur survie, ils y sont souvent parvenus au prix de contorsions peu compatibles avec la bonne marche de l'Union. Et politiquement peu gratifiantes pour leur responsable.
Le "bon sens" finira-t-il par l'emporter sur les inquiétudes et les assauts de démagogie propre à ce type de référendum ? A part le Sinn Fein et ses quatre députés, la classe politique et économique dans son ensemble l'espère toujours. L'Irlande a de toute évidence plus à perdre qu'à gagner à voir l'Europe à nouveau encalminée dans les méandres du traité de Nice. Et le gouvernement de Brian Cowen frémit à l'idée de voir le pays affaibli au sein de l'Union en période de basses eaux économiques. Il n'est pas le seul. Si le référendum irlandais se transforme en ballade pour un traité défunt, il appartiendra à la présidence française de l'Union de trouver les moyens de sortir de l'ornière. Un redoutable lever de rideau pour Nicolas Sarkozy. Car, si les Européens ont toujours su faire preuve d'une imagination insoupçonnée pour assurer leur survie, ils y sont souvent parvenus au prix de contorsions peu compatibles avec la bonne marche de l'Union. Et politiquement peu gratifiantes pour leur responsable.
A mon avis, la construction européenne est trop lente !
Des résultats presque invisibles aux yeux des citoyens
Et voilà le résultat, on ne la comprend pas...
Sarkozyfrance2007
Des résultats presque invisibles aux yeux des citoyens
Et voilà le résultat, on ne la comprend pas...
Sarkozyfrance2007
ça se profile malheureusement très mal...
RépondreSupprimerOn-t-il oublié que leur niveau de vie actuel est du à l'UE ???