- Un tir, apparemment accidentel, s'est produit alors que le chef de l'Etat se trouvait sur le tarmac de l'aéroport de Tel-Aviv.
- Nicolas Sarkozy et sa femme Carla sont montés très rapidement dans l'avion.
A l'issue de son voyage au Proche-Orient -il a rencontré Mahmoud Abbas, le président palestinien, mardi midi avant de visiter la basilique de la Nativité-, Nicolas Sarkozy a rejoint l'aéroport Ben Gourion à Tel-Aviv.
Un peu avant 16h, heure française, alors qu'il se trouvait sur le tarmac de l'aéroport, totalement sécurisé, et qu'il s'apprêtait à monter dans l'avion présidentiel, un coup de feu a retenti, à environ 100 mètres de lui. Craignant un atttentat, les services de sécurité ont fait rapidement monter le chef de l'Etat et sa femme, qui étaient en train de gravir la passerelle, à bord de l'appareil.
D'autres agents de sécurité ont de leur côté escorté en toute hâte le Premier ministre israélien Ehud Olmert, qui avait accompagné Nicolas Sarkozy jusqu'au pied de l'avion, vers sa voiture. Une partie de la délégation française, déjà présente dans l'avion, n'a rien vu. Après être ressorti de sa voiture, Ehud Olmert est monté rejoindre Nicolas Sarkozy pour lui expliquer que la situation était sous contrôle. L'avion a ensuite décollé sans incident notable.
D'après les premiers éléments de l'enquête, le tir, dont a été victime un soldat israélien, n'a aucunement visé ni Nicolas Sarkozy ni Ehud Olmert. Les médias israéliens ont donné plusieurs hypothèses. Ils ont tout d'abord indiqué qu'il s'agissait d'une tentative de suicide du soldat décédé. Ils ont ensuite démenti cette version, affirmant que le tir était parti accidentellement après que le soldat est tombé d'un toit.
Un peu avant 16h, heure française, alors qu'il se trouvait sur le tarmac de l'aéroport, totalement sécurisé, et qu'il s'apprêtait à monter dans l'avion présidentiel, un coup de feu a retenti, à environ 100 mètres de lui. Craignant un atttentat, les services de sécurité ont fait rapidement monter le chef de l'Etat et sa femme, qui étaient en train de gravir la passerelle, à bord de l'appareil.
D'autres agents de sécurité ont de leur côté escorté en toute hâte le Premier ministre israélien Ehud Olmert, qui avait accompagné Nicolas Sarkozy jusqu'au pied de l'avion, vers sa voiture. Une partie de la délégation française, déjà présente dans l'avion, n'a rien vu. Après être ressorti de sa voiture, Ehud Olmert est monté rejoindre Nicolas Sarkozy pour lui expliquer que la situation était sous contrôle. L'avion a ensuite décollé sans incident notable.
D'après les premiers éléments de l'enquête, le tir, dont a été victime un soldat israélien, n'a aucunement visé ni Nicolas Sarkozy ni Ehud Olmert. Les médias israéliens ont donné plusieurs hypothèses. Ils ont tout d'abord indiqué qu'il s'agissait d'une tentative de suicide du soldat décédé. Ils ont ensuite démenti cette version, affirmant que le tir était parti accidentellement après que le soldat est tombé d'un toit.
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