Même si je ne suis pas particulièrement convaincu par le sous-titrage du Parisien, je souhaite apporté mon avis sur ce qui devient une affaire d'Etat alors que je considère cela comme un fait de la vie privée auquel tout le monde peut-être confronté. Qui ne réagirait pas à de tel propos : "Touche moi pas, tu me salis" ? C'est ce que j'appelle de la provocation et de l'irrespect d'un abrutis sans cerveau.
Je constate donc la réaction, très direct, d'un homme comme tous les autres qui sait se faire respecter et qui ne souhaite pas montrer une façade qui n'est pas la sienne parce qu'il est Président.
Jean-Pierre Raffarin : "La vidéo ne m'a pas parue particulièrement nerveuse. C'est un dialogue privé, d'homme à homme, assez direct, assez viril, un dialogue volé. Je ne commente que les dialogues politiques". Mais "dans la vie privée", "de temps en temps, on peut avoir envie de dire un certain nombre de choses".
Brice Hortefeux : "Les hommes politiques ne sont pas des carpettes sur lesquelles on doit s'essuyer les pieds". "Nicolas Sarkozy s'est exprimé de manière à ce que son interlocuteur le comprenne, eh bien moi je trouve ça très bien que le président de la République s'exprime comme chaque Français".
Xavier Bertrand : "On n'a pas le droit dans ce pays d'humilier le président de la République. Que ce monsieur refuse de lui serrer la main, c'est vexant, mais les propos qu'il a tenus c'est blessant". Selon lui, "on marche sur la tête" quand on "ne retient que les cinq secondes" de cet échange alors que le président "est resté deux heures" au Salon de l'Agriculture. "Le président de la République ne se laisse pas insulter", a conclu Xavier Bertrand.
Valérie Pécresse : "C'est un geste d'agacement, les hommes politiques sont des hommes comme les autres, ils ont une sensibilité vous savez", a lancé la ministre. "C'est plutôt rassurant, peut-être". Pour Mme Pécresse, "la personne qui s'exprimait en face, elle-même, n'avait pas utilisé des mots extrêmement tendres".
Michel Barnier : "A un moment donné, quelqu'un a agressé verbalement le chef de l'Etat. (...) Et le président de la République, c'est un homme qui est spontané, direct et assez moderne dans son comportement. Il n'y a pas d'hypocrisie avec Nicolas Sarkozy, il lui a répondu d'homme à homme et il ne faut pas s'en étonner".
Lionel Jospin : "Le président de la République doit rester respecté. J'ai été choqué que quelqu'un puisse s'adresser à lui comme il l'a fait, mais j'ai été surpris que le président de la République réponde comme il a cru pouvoir le faire".
Je constate donc la réaction, très direct, d'un homme comme tous les autres qui sait se faire respecter et qui ne souhaite pas montrer une façade qui n'est pas la sienne parce qu'il est Président.
Jean-Pierre Raffarin : "La vidéo ne m'a pas parue particulièrement nerveuse. C'est un dialogue privé, d'homme à homme, assez direct, assez viril, un dialogue volé. Je ne commente que les dialogues politiques". Mais "dans la vie privée", "de temps en temps, on peut avoir envie de dire un certain nombre de choses".
Brice Hortefeux : "Les hommes politiques ne sont pas des carpettes sur lesquelles on doit s'essuyer les pieds". "Nicolas Sarkozy s'est exprimé de manière à ce que son interlocuteur le comprenne, eh bien moi je trouve ça très bien que le président de la République s'exprime comme chaque Français".
Xavier Bertrand : "On n'a pas le droit dans ce pays d'humilier le président de la République. Que ce monsieur refuse de lui serrer la main, c'est vexant, mais les propos qu'il a tenus c'est blessant". Selon lui, "on marche sur la tête" quand on "ne retient que les cinq secondes" de cet échange alors que le président "est resté deux heures" au Salon de l'Agriculture. "Le président de la République ne se laisse pas insulter", a conclu Xavier Bertrand.
Valérie Pécresse : "C'est un geste d'agacement, les hommes politiques sont des hommes comme les autres, ils ont une sensibilité vous savez", a lancé la ministre. "C'est plutôt rassurant, peut-être". Pour Mme Pécresse, "la personne qui s'exprimait en face, elle-même, n'avait pas utilisé des mots extrêmement tendres".
Michel Barnier : "A un moment donné, quelqu'un a agressé verbalement le chef de l'Etat. (...) Et le président de la République, c'est un homme qui est spontané, direct et assez moderne dans son comportement. Il n'y a pas d'hypocrisie avec Nicolas Sarkozy, il lui a répondu d'homme à homme et il ne faut pas s'en étonner".
Lionel Jospin : "Le président de la République doit rester respecté. J'ai été choqué que quelqu'un puisse s'adresser à lui comme il l'a fait, mais j'ai été surpris que le président de la République réponde comme il a cru pouvoir le faire".
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