Le satisfecit semble général après 4 mois de Grenelle de l'Environnement. En tout cas, pour Nicolas Hulot, c'est une réussite, en particulier en matière de fiscalité écologique. "A ce stade-là, pour gagner une petite marge de manoeuvre, on va mettre 18 sur 20", a déclaré à Reuters l'animateur de télévision, qui avait fait du "prix du carbone" son cheval de bataille.
"C'est plus qu'un lancement d'idée, c'est même assorti d'une réforme profonde de la fiscalité comme je le souhaitais - sans d'ailleurs penser qu'on en arriverait là -, d'un transfert de la fiscalité du travail sur la fiscalité éconologique", a-t-il dit.
Pour Nicolas Hulot, le "Grenelle de l'environnement", inédit en France, a permis de faire "un saut qualitatif". "On a fait en quleques mois ce que l'on n'a pas fait en une dizaine d'années, il y a une vraie rupture", s'est-il réjoui. "Il y un changement de cap qui est induit et de nouvelles logiques vont se mettre en branle, ça c'est évident".
"C'est plus qu'un lancement d'idée, c'est même assorti d'une réforme profonde de la fiscalité comme je le souhaitais - sans d'ailleurs penser qu'on en arriverait là -, d'un transfert de la fiscalité du travail sur la fiscalité éconologique", a-t-il dit.
Pour Nicolas Hulot, le "Grenelle de l'environnement", inédit en France, a permis de faire "un saut qualitatif". "On a fait en quleques mois ce que l'on n'a pas fait en une dizaine d'années, il y a une vraie rupture", s'est-il réjoui. "Il y un changement de cap qui est induit et de nouvelles logiques vont se mettre en branle, ça c'est évident".
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