- Le garçon a affirmé aux enquêteurs que c'est le dernier compagnon de sa mère qui l'a jeté dans le Lac d'Apremont. L'homme est recherché par la police.
- "En l'état, aucune piste n'est privilégiée", précise avec prudence le procureur.
Peu après son réveil, samedi, le petit Antoine a finalement dit plus que son nom et son âge. Selon Le Parisien dimanche, le garçon a raconté sa version des circonstances du drame. Il aurait été emmené de force au lac d'Apremont par le compagnon de sa mère, qui l'aurait jeté à l'eau depuis un ponton.
L'homme, qui s'est depuis volatilisé, est également suspecté d'avoir tué la mère d'Antoine - même si le commandant Bertrand Depierre, chargé de la communication à la gendarmerie des Pays de la Loire, préfère le désigner simplement comme le "témoin n°1 sur lequel se focalisent les recherches". Selon le procureur de la Roche-sur-Yon, le corps de la jeune femme a été retrouvé baignant dans son sang "dans la salle à manger" de la maison familiale, située dans une zone de marais à Bois de Céné, au nord-ouest de Challans, à une trentaine de kilomètres du lac où a été découvert le garçon. Toujours selon le procureur, le corps portait la trace "d'un coup à la tête". Une autopsie devrait être pratiquée lundi. Les enquêteurs estiment qu'Antoine n'a "probablement pas assisté" à la mort de sa mère.
Ils se sont quittés "sans esclandre"
La gendarmerie a précisé samedi soir que la jeune femme vivait encore "récemment avec un concubin". Selon Le Parisien, qui cite une source proche de l'enquête, l'homme, un ferrailleur, et la mère d'Antoine, une aide-soignante "plutôt timide" selon ses voisins, se seraient quittés "sans esclandre" il y a deux semaines.
Les enquêteurs recherchent par ailleurs, "pour l'informer", le père de l'enfant, qui vit en région parisienne. Séparé de la mère, il n'a pas donné signe de vie depuis vendredi. "Nous sommes dans le cadre d'une enquête pour homicide. Mais en l'état, aucune piste n'est privilégiée", a précisé le procureur. Antoine, qui est dans un grand état de fatigue, a été perturbé psychologiquement par l'annonce de la mort de sa mère samedi soir, selon une source proche du dossier, qui précise qu'il n'a toujours pas été officiellement auditionné.
L'homme, qui s'est depuis volatilisé, est également suspecté d'avoir tué la mère d'Antoine - même si le commandant Bertrand Depierre, chargé de la communication à la gendarmerie des Pays de la Loire, préfère le désigner simplement comme le "témoin n°1 sur lequel se focalisent les recherches". Selon le procureur de la Roche-sur-Yon, le corps de la jeune femme a été retrouvé baignant dans son sang "dans la salle à manger" de la maison familiale, située dans une zone de marais à Bois de Céné, au nord-ouest de Challans, à une trentaine de kilomètres du lac où a été découvert le garçon. Toujours selon le procureur, le corps portait la trace "d'un coup à la tête". Une autopsie devrait être pratiquée lundi. Les enquêteurs estiment qu'Antoine n'a "probablement pas assisté" à la mort de sa mère.
Ils se sont quittés "sans esclandre"
La gendarmerie a précisé samedi soir que la jeune femme vivait encore "récemment avec un concubin". Selon Le Parisien, qui cite une source proche de l'enquête, l'homme, un ferrailleur, et la mère d'Antoine, une aide-soignante "plutôt timide" selon ses voisins, se seraient quittés "sans esclandre" il y a deux semaines.
Les enquêteurs recherchent par ailleurs, "pour l'informer", le père de l'enfant, qui vit en région parisienne. Séparé de la mère, il n'a pas donné signe de vie depuis vendredi. "Nous sommes dans le cadre d'une enquête pour homicide. Mais en l'état, aucune piste n'est privilégiée", a précisé le procureur. Antoine, qui est dans un grand état de fatigue, a été perturbé psychologiquement par l'annonce de la mort de sa mère samedi soir, selon une source proche du dossier, qui précise qu'il n'a toujours pas été officiellement auditionné.
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