- Plusieurs personnalités de Neuilly, parmi lesquelles Jean Sarkozy, invoquent des "désaccords majeurs" avec le candidat adoubé par Nicolas Sarkozy dans son ancien fief.
"Un certain nombre de désaccords majeurs avec David Martinon". Telle est la raison avancée par trois colistiers de David Martinon pour justifier leur décision de conduire à Neuilly une "liste de rassemblement" concurrente.
Trois colistiers, mais pas des moindres. Cette désolidarisation du candidat Martinon, en difficulté selon un sondage confidentiel révélé par Le Figaro, a été annoncée par le biais d'un courriel authentifié envoyé par Jean Sarkozy. Le texte est signé par le fils du président de la République, ainsi que par Marie-Cécile Ménard, numéro 2 sur la liste UMP à Neuilly, et par Arnaud Teullé, figure locale de l'UMP qui souhaitait briguer la Mairie avant que Nicolas Sarkozy ne favorise la candidature de son porte-parole.
"Nous avons décidé de conduire la liste de rassemblement pour les élections municipales à Neuilly, afin de faire cesser les divergences au sein de la majorité présidentielle sur notre commune", déclarent-ils dans ce texte. "De très nombreux Neuilléens nous demandent de réagir et de travailler ensemble pour notre ville. Dans ce nouveau contexte politique, nous appelons au plus large rassemblement", ajoutent les trois signataires.
Aval de l'Elysée ?
Ce coup de théâtre est intervenu quelques instants après une déclaration du directeur de campagne de David Martinon assurant que, "bien sûr", ce dernier maintenait sa candidature à la Mairie de la ville la plus riche de France, après une journée de confusion autour de son QG.
Selon plusieurs sources interrogées par l'AFP, la décision du trio Teullé-Ménard-Sarkozy n'a pu être prise sans l'aval du président. Ce dernier devait s'envoler vers 22 heures pour la Guyane, en compagnie -normalement- de David Martinon, dont l'avenir à l'Elysée est désormais en question.
Le secrétaire général de l'UMP, Patrick Devedjian, a annoncé sur France2 une "réunion décisive" pour tenter de régler cette crise entre "des gens de qualité, des habitants de Neuilly depuis toujours" et "un garçon qui s'est engagé avec beaucoup de conviction dans cette campagne et se heurte à de grosses difficultés". "Je réunirai les principaux intéressés", demain soir à Neuilly à 18h30, et "nous prendrons des décisions après avoir entendu tout le monde", a-t-il déclaré.
Sur le réseau social Facebook, dont Jean Sarkozy et David Martinon sont deux adeptes, la rupture n'est pas encore consommée, et les deux hommes y étaient toujours, à la mi-journée, affichés comme des "amis". En revanche Arnaud Teullé, lui aussi membre du réseau, n'est toujours pas "ami" avec David Martinon.
Trois colistiers, mais pas des moindres. Cette désolidarisation du candidat Martinon, en difficulté selon un sondage confidentiel révélé par Le Figaro, a été annoncée par le biais d'un courriel authentifié envoyé par Jean Sarkozy. Le texte est signé par le fils du président de la République, ainsi que par Marie-Cécile Ménard, numéro 2 sur la liste UMP à Neuilly, et par Arnaud Teullé, figure locale de l'UMP qui souhaitait briguer la Mairie avant que Nicolas Sarkozy ne favorise la candidature de son porte-parole.
"Nous avons décidé de conduire la liste de rassemblement pour les élections municipales à Neuilly, afin de faire cesser les divergences au sein de la majorité présidentielle sur notre commune", déclarent-ils dans ce texte. "De très nombreux Neuilléens nous demandent de réagir et de travailler ensemble pour notre ville. Dans ce nouveau contexte politique, nous appelons au plus large rassemblement", ajoutent les trois signataires.
Aval de l'Elysée ?
Ce coup de théâtre est intervenu quelques instants après une déclaration du directeur de campagne de David Martinon assurant que, "bien sûr", ce dernier maintenait sa candidature à la Mairie de la ville la plus riche de France, après une journée de confusion autour de son QG.
Selon plusieurs sources interrogées par l'AFP, la décision du trio Teullé-Ménard-Sarkozy n'a pu être prise sans l'aval du président. Ce dernier devait s'envoler vers 22 heures pour la Guyane, en compagnie -normalement- de David Martinon, dont l'avenir à l'Elysée est désormais en question.
Le secrétaire général de l'UMP, Patrick Devedjian, a annoncé sur France2 une "réunion décisive" pour tenter de régler cette crise entre "des gens de qualité, des habitants de Neuilly depuis toujours" et "un garçon qui s'est engagé avec beaucoup de conviction dans cette campagne et se heurte à de grosses difficultés". "Je réunirai les principaux intéressés", demain soir à Neuilly à 18h30, et "nous prendrons des décisions après avoir entendu tout le monde", a-t-il déclaré.
Sur le réseau social Facebook, dont Jean Sarkozy et David Martinon sont deux adeptes, la rupture n'est pas encore consommée, et les deux hommes y étaient toujours, à la mi-journée, affichés comme des "amis". En revanche Arnaud Teullé, lui aussi membre du réseau, n'est toujours pas "ami" avec David Martinon.
Coucou voici un +5 pour toi et passe kan tu veux sur mon blog
RépondreSupprimerles com's sont rendu
Chris