- Le chef de l'Etat ne reste que cinq heures sur place. Après avoir rencontré le président afghan Hamid Karzaï, il doit déjeuner avec des soldats français.
- Nicolas Sarkozy est accompagné du ministre de la Défense Hervé Morin et de la Secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade.
La visite ne dure que cinq heures. Le président français Nicolas Sarkozy est arrivé samedi matin à Kaboul en Afghanistan. Une visite éclair au cours de laquelle il a rencontré le président Hamid Karzaï. Il doit aussi rencontrer les soldats français déployés en Afghanistan. Le chef de l'Etat français est accompagné du ministre de la Défense Hervé Morin et de la Secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade. L'ancien ministre Jean-François Poncet et le philosophe André Glucksman sont également du voyage. Bernard Kouchner, arrivé d'Inde, attendait le président à l'aéroport de Kaboul.
Nicolas Sarkozy a déclaré samedi qu'il se jouait en Afghanistan une guerre contre le terrorisme que les alliés ne pouvaient pas se permettre de perdre, à l'issue d'un entretien avec Hamid Karzaï. Le chef d'Etat français a indiqué qu'"il se jouait ici deux choses extrêmement importantes": "la solidité des accords entre les alliés" et la guerre contre le terrorisme, a-t-il dit en insistant sur la nécessité d'un "front uni". Il a souligné qu'il fallait agir pour que "l'Afghanistan ne devienne pas un Etat terroriste", comme cela avait été le cas lorsque les talibans étaient au pouvoir dans le pays de 1996 à fin 2001, avant d'être renversés par une coalition internationale pour leur soutien à Al-Qaida, qui y avait ses bases arrières.
Le chef d'Etat français, qui dit également être venu "s'enquérir du moral des troupes" avec lesquelles il devait déjeuner. Nicolas Sarkozy doit rester jusqu'à 15 heures locales dans la capitale afghane avant de repartir pour la France en faisant une halte à Douchanbe, la capitale du Tadjikistan voisin.
Nicolas Sarkozy a déclaré samedi qu'il se jouait en Afghanistan une guerre contre le terrorisme que les alliés ne pouvaient pas se permettre de perdre, à l'issue d'un entretien avec Hamid Karzaï. Le chef d'Etat français a indiqué qu'"il se jouait ici deux choses extrêmement importantes": "la solidité des accords entre les alliés" et la guerre contre le terrorisme, a-t-il dit en insistant sur la nécessité d'un "front uni". Il a souligné qu'il fallait agir pour que "l'Afghanistan ne devienne pas un Etat terroriste", comme cela avait été le cas lorsque les talibans étaient au pouvoir dans le pays de 1996 à fin 2001, avant d'être renversés par une coalition internationale pour leur soutien à Al-Qaida, qui y avait ses bases arrières.
Le chef d'Etat français, qui dit également être venu "s'enquérir du moral des troupes" avec lesquelles il devait déjeuner. Nicolas Sarkozy doit rester jusqu'à 15 heures locales dans la capitale afghane avant de repartir pour la France en faisant une halte à Douchanbe, la capitale du Tadjikistan voisin.
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